La théorie vaccinale s’avère fausse

Heidi Stevenson

 

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Gaia Health Blog, Heidi Stevenson

 

      La supposition selon laquelle les anticorps sont nécessaires pour combattre les maladies virales a été acceptée comme un fait. Or, l’étude dont il est question ici anéantit cette hypothèse. En fait, les vaccins peuvent agir contre la capacité de l’organisme à combattre la maladie.

 

      Une nouvelle étude produite par les National Institutes of Health (NIH) documente que la théorie fondamentale derrière la vaccination est fausse. Cela ne devrait pas surprendre, car sa véracité n'a jamais été établie. Bien sûr, ce petit détail n'a jamais arrêté ceux qui préconisent les vaccins. Pourtant, il existe désormais une preuve directe montrant que leurs allégations non fondées se sont toujours appuyées sur rien d’autre que de fausses revendications.

 

      Il est estimé que l'immunité adaptative, ou formation d'anticorps, est nécessaire pour protéger contre de nombreuses maladies. Cette idée est au cœur de la théorie vaccinale. L'étude présentée dans la revue Immunity (1) a constaté que, dans le cas du virus de la stomatite vésiculeuse, ce n'est pas vrai. En fait, il en ressort qu'aucune réaction d’anticorps ne peut être efficace contre les virus à réplication rapide, en particulier ceux qui sont associés à des plaies de la peau, comme le tétanos.

 

      Les cellules B sont des lymphocytes, des globules blancs, qui sont nécessaires pour combattre les infections. L'étude a révélé que, bien qu'elles sont assurément nécessaires, leur capacité à produire des anticorps n'a pas toujours quelque chose à voir avec la survie. Dans le cas de la stomatite vésiculeuse, les anticorps sont inutiles pour combattre l'infection. Au lieu de cela, c’est la capacité des cellules B à inciter les macrophages (littéralement « gros mangeurs ») qui réussit à combattre l'infection.

 

Les auteurs ont écrit :

 

      Les résultats présentés ici contredisent l’opinion actuelle, selon laquelle les anticorps neutralisants dérivés des cellules B sont absolument nécessaires pour survivre à une primo-infection virale cytopathogène, telle que celle causée par le virus de la stomatite vésiculeuse. Ce paradigme a surgi à l'origine des expériences sur les souris déficientes en cellule B (Bachmann et autres, 1994, 1997 ; Bründler et autres, 1996 ; Gobet et autres, 1988), qui n'ont pas d'anticorps, mais ont aussi une architecture anormale du tissu lymphoïde et le phénotype des macrophages altéré. Nos expériences sur les souris qui n'ont pas d'anticorps, mais possèdent des cellules B et des tissus lymphoïdes normaux, confirment que les cellules B et les anticorps sont tous deux critiques dans la survie à une infection systémique après administration intraveineuse massive en une seule fois de virus de la stomatite vésiculeuse. Toutefois, seules les cellules B sont essentielles quand le virus de la stomatite vésiculeuse est affronté via la voie plus « naturelle » sous-cutanée, tandis que les anticorps ne sont ni nécessaires, ni suffisants pour la protection.

     

Ce ne pourrait pas être plus clair ! L'hypothèse qui avait été faite est que, puisque les cellules B sont nécessaires pour combattre les infections, alors leur capacité à produire des anticorps est la clef. Or, cette étude démontre qu’il ne s’agit encore de rien de plus qu'une hypothèse. Au lieu de cela, c'est la capacité de la cellule B à stimuler les macrophages qui réalise le travail, du moins dans certains cas.

 

Il existe une preuve supplémentaire de la véracité de ceci. Comme l’a noté Green Med Info (2), il est bien connu que les taux élevés d'anticorps ne sont pas nécessairement une protection contre le tétanos.

     

Les auteurs de cette étude ont clairement affirmé que la méthode de l'infection a de l’importance. Le tétanos se contracte habituellement par une plaie cutanée, en particulier celle qui procure un environnement anaérobie, comme cela tend se trouver dans les profondes blessures resserrées, comme les piqures. La capacité de l’organisme à combattre l’infection tétanique est davantage liée à des fonctions innées du système immunitaire qu’à des anticorps acquis. Les auteurs de cette étude de 1992 déclarent (3) :

     

Le diagnostic de tétanos, néanmoins, ne doit pas être écarté sur la seule base d’une protection apparente due à la concentration antitétanique.

 

Implications

 

      Les auteurs discutent de leurs conclusions rapportées au virus de la rage. C'est un proche parent du virus de la stomatite vésiculeuse de l’étude. Ils mettent également sur le tapis le fait que d'autres maladies virales transmissibles de la même manière que la rage, comme l'encéphalite japonaise et le virus de l’encéphalite équine de l'Est et l'Ouest, sont de plus en plus fréquentes, ce qui implique que leurs conclusions pourraient être importantes pour comprendre comment traiter ces maladies.

 

Ils notent que :

 

      La plupart des agents pathogènes viraux, y compris la rage et le virus de la stomatite vésiculeuse, doivent ouvrir une brèche dans les barrières externes de l'organisme pour provoquer la maladie.

 

      Cela implique que l'emploi des vaccins peut nous donner un faux sentiment de sécurité et, peut-être plus important encore, ils peuvent aussi endommager le système immunitaire.

 

Limitations auto-immunes

 

      Il devrait être évident que le système immunitaire a la capacité de faire beaucoup de choses. Le forcer à réagir au vaccin, signifie le laisser moins réactif aux menaces réelles. L'énorme quantité de vaccins faits aujourd'hui, et en accroissement à un rythme accéléré, n'a jamais fait l'objet d'études scientifiques. Ils sont simplement présumés surs, mais cette présomption ne repose sur rien d’autre qu’un vœu pieux, ou pire, un désir de convaincre le public que c'est vrai pour qu'ils puissent passer à la production de toujours plus de vaccins.

 

Absence de preuve de l'efficacité vaccinale

 

      Les taux élevés d'anticorps produits par les vaccins, connus sous le nom de concentrations [titers], n'ont jamais été démontrés aussi efficaces que la prévention des maladies. Nous disposons désormais de preuves solides montrant que, au moins dans certains cas, ils ne servent pas. Ils peuvent même avoir l'effet inverse en obligeant les cellules B à gaspiller leurs efforts à produire des anticorps au moment où elles pourraient diriger leur propre système défensif bien plus efficacement.

 

Les vaccins sont artificiels

 

      Les vaccins ne donnent pas d'immunité naturelle. Cette étude documente que c'est important. Le naturel est supérieur à l’artificiel. Il est désormais bien acquis que les vaccins ne créent ni une immunité persistante, ni de longue durée. Pour agir pleinement, ils doivent contenir des substances et des ingrédients toxiques, capables de provoquer des maladies auto-immunes. On sait que tout ceci est vrai. Le fait est qu’une forme d'arthrite rhumatoïde survient chez le rat (4) quand on lui injecte un adjuvant de vaccin. Insinuer que les vaccins sont inoffensifs, ou même le sont relativement, peut se faire uniquement en refusant d’admettre des preuves par ailleurs accablantes.

 

      Nous avons désormais des preuves claires montrant que la théorie à l’origine des vaccinations est tout simplement fausse. Même si elle doit être vraie dans certains cas, elle n'a jamais été démontrée. Nous pouvons espérer que cette combinaison d'éléments opposés à la théorie et l’absence de preuves en sa faveur, susciteront un cri immédiat de la part des agences de règlementation, comme les NIH et les CDC, pour appeler à mettre un terme aux vaccinations, du moins jusqu'à ce qu'elles puissent être prouvées sures et efficaces par des études indépendantes.

 

      Nous pourrions espérer que les organismes qui supervisent la santé feront ce qu’il faut, bien qu’ils ne l'aient pas fait jusqu’ici. C’est pourquoi cette étude sera probablement oubliée. Ne vous attendez pas à voir un financement pour la reproduire, sauf s'ils découvrent le moyen de s’en servir pour promouvoir les anciens vaccins ou en développer de nouveaux.

 

Notes :

  1. Le maintien des macrophages dans les sinus sous-capsulaires par les cellules B protège d’infections virales mortelles indépendamment de l'immunité adaptative
  1. L’étude remet en question la légitimation principale des vaccins
  1. Tétanos grave chez des patients vaccinés avec de hautes concentrations antitétaniques
  1. Adjuvant produisant de l'arthrite au rat

 

Original :

 gaia-health.com/gaia-blog/2012-07-04/vaccine-theory-proven-wrong-study-by-nih/

 

Traduction copyleft de Pétrus Lombard

 

http://www.alterinfo.net/La-theorie-vaccinale-s-avere-fausse_a78758.html

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