L’histoire du cartel pharmaceutique L’intégration de la santé publique dans la matrix mortifère… Une petite histoire du cartel pharmaceutique…

“On remarque vite que la médecine aujourd’hui n’a, bien sûr, plus le droit de défendre la santé de la population contre l’environnement pathogène, car ce serait s’opposer à l’État, ou seulement à l’industrie pharmaceutique”

 

– Guy Debord (1988) –


 

Cette petite histoire du cartel pharmaceutique publiée sur Nos Libertés.org est une excellente première approche, qui pose les jalons pour une étude plus approfondie de la question. Un foisonnement de documents et d’analyses existent sur la toile à ce sujet et nous ne pouvons qu’encourager tout a chacun de vraiment analyser et comprendre le pourquoi et le comment nous vivons dans une société mortifère, qui nous euthanasie sur le long terme.

 

L’article ci-dessous parle justement de l’empire IG Farben et de ce qu’il en est advenu après la seconde guerre mondiale. Nous avons abordé le sujet sous l’angle politique avec la traduction de larges extraits de l’ouvrage de l’historien Antony C. Sutton “Wall Street et la montée d’Hitler”. Sutton a exhaustivement recherché le financement d’Hitler et du parti nazi allemand pour découvrir que Wall Street et le cartel industro-financier étaient à l’origine de l’avènement politique d’Hitler et de son état totalitaire eugéniste (tout comme ce même milieu avait financé auparavant la révolution bolchévique et aidé à créé l’URSS pour des raisons économico-politiques).

 

Il est évident aujourd’hui que le but de l’industrie chimique et pharmaceutique n’est absolument pas celui de guérir et encore moins de prévenir le lot de maladies chroniques qui dévaste l’humanité, bien au contraire… Nous avons affaire ici à une industrie de mort, déguisée en “bon samaritain”, n’ayant pour seul but que le profit, le contrôle monopoliste des populations sous une couverture pseudo-scientifique et humanitaire emprunte d’une idéologie (néo)malthusianisme et darwiniste-social mortifère et criminelle.

 

Ne soyons plus dupes de l’illusion entretenue sur les sujets de la santé publique. Exposons la supercherie !

 

– Résistance 71 –


 

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15 mai 1911 La Cour suprême des États-Unis déclare John Rockefeller et son trust coupable de corruption, de pratiques illégales et de racket. Par conséquent, la totalité du trust Rockefeller Standard Oïl, la plus grande entreprise du monde à cette époque, est condamné à la dissolution. Mais Rockefeller était déjà au- dessus de la Cour suprême et ne se souciait guère de cette décision.

 

1913 Pour dissiper la pression publique et politique qu’il subit avec ses barons, Rockefeller trouve une nouvelle solution appelée “philanthropie” : il utilise les revenus de ses pratiques illégales sur le marché du pétrole pour créer la Fondation Rockefeller. Grâce à cette entité dont le statut équivaut à un paradis fiscal, il organise le contrôle stratégique du secteur de la santé aux États-Unis. La Fondation Rockefeller est la façade d’une nouvelle entreprise globale gérée par Rockefeller et ses complices : les investissements dans le commerce pharmaceutique. Les dons de la Fondation Rockefeller supportent exclusivement des écoles médicales et des hôpitaux. Ces institutions sont devenues les missionnaires d’une nouvelle race d’entreprises: les fabricants de médicaments synthétiques brevetés.

 

C’est à cette époque que l’on découvre les vitamines. Il devient vite évident que ces molécules naturelles ont des propriétés curatives remarquables et qu’elles peuvent prévenir de nombreuses maladies chroniques. Les recherches menées sur leurs propriétés permettent de publier divers ouvrages, mais elles sont ensuite abandonnées. Ces nouvelles molécules présentent en effet un inconvénient majeur : elles ne peuvent pas être brevetées.

Par conséquent, dès ses premières années d’existence, le commerce pharmaceutique est déjà confronté à un risque mortel: les vitamines et autres micronutriments promus par des programmes de santé publics rendraient impossible le développement de toute activité commerciale basée sur des médicaments brevetés. L’élimination de la concurrence indésirable des micronutriments naturels devient donc une question de vie ou de mort pour le commerce pharmaceutique.

 

1918 La Fondation Rockefeller profite de l’épidémie de grippe espagnole et utilise les médias pour lancer une chasse aux sorcières contre tous les médicaments qui échappent à ses brevets. Au cours des 15 prochaines années, toutes les écoles médicales des États- Unis, la plupart des hôpitaux et l’American Medical Association deviennent des pions sur l’échiquier stratégique de Rockefeller pour mettre l’ensemble du secteur de la santé sous le monopole de ses entreprises pharmaceutiques. Déguisée en “Mère Theresa”, la Fondation Rockefeller sert également à conquérir des marchés étrangers et des continents, avec les mêmes méthodes que Rockefeller avait lui-même appliquées pour créer son empire pétrochimique au cours des précédentes décennies.

 

1925 De l’autre côté de l’Atlantique, en Allemagne, un premier cartel chimico- pharmaceutique est créé pour s’opposer à la conquête du marché mondial des médicaments par le seul Rockefeller. Dirigé par les multinationales allemandes Bayer, BASF et Hoechst, le cartel I.G. Farben émerge avec une force de travail comptant plus de 80 000 employés. La course pour le contrôle du marché mondial des produits pharmaceutiques est lancée.

 

29 novembre 1929 Le cartel Rockefeller (U.S.A.) et le cartel I.G. Farben (Allemagne) décident de diviser le monde en sphères d’intérêt. Cette pratique est exactement celle pour laquelle Rockefeller avait été condamné 18 ans plus tôt, lorsque son trust avait divisé les États-Unis en “zones d’intérêt”.

 

1932 – 1933 Le cartel I.G. Farben, tout aussi insatiable, décide de ne plus s’en tenir aux limites fixées en 1929. Ses dirigeants décident d’apporter leur soutien à un politicien allemand qui leur promet de conquérir le monde par la force des armes. Grâce aux millions de dollars investis en campagnes électorales, ce politicien prend le pouvoir en Allemagne, transforme la démocratie allemande en dictature et tiendra sa promesse de lancer une guerre de conquête. La deuxième guerre mondiale allait bientôt commencer. Dans chaque pays envahi par l’armée d’Hitler, les premières actions consistent à piller les industries chimiques, pétrochimiques  et pharmaceutiques et à les intégrer gratuitement à l’empire I.G. Farben.

 

1940 Création par Pétain de l’Ordre des médecins. Première vaccination obligatoire créée par Pétain (tétanos).

 

1941 L’industrie chimique française (Francolor) passe sous le contrôle nazie de I.G. Farben Suppression du diplôme d’herboriste par Pétain. Création du Groupement National Interprofessionnel des Semences par Pétain (catalogue des semences autorisées). Création du Service de Protection des Plantes (Police des plantes) par Pétain.

 

1942 Création du Comité Technique Permanent de la Sélection par Pétain.

 

1942 – 1945 Pour renforcer sa domination mondiale des médicaments brevetés, le cartel I.G. Farben teste ses substances pharmaceutiques brevetées sur les prisonniers des camps de concentration à Auschwitz, Dachau, etc. Les paiements de ces études inhumaines sont directement transférés des comptes bancaires de Bayer, Hoechst et BASF sur les comptes bancaires de la SS, organisation militaire responsable des camps de concentration.

 

1945 Création de l’Ordre des pharmaciens par le gouvernement provisoire. Création de la Sécurité sociale.

Le plan d’I.G. Farben pour dominer les marchés mondiaux du pétrole et des médicaments a échoué. Les forces alliées ont gagné la guerre. Mais ce conflit a couté la vie à un nombre colossal de soldats américains et alliés. Pourtant les récompenses des forces alliées sont bien maigres comparées à d’autres. Les actions industrielles des perdants, I.G. Farben inclus, sont absorbées par le

trust Rockefeller (USA) et Rothschild/J.P. Morgan (Royaume Uni).

 

1947 Le tribunal de Nuremberg a jugé 24 directeurs de Bayer, BASF, Hoechst et d’autres responsables du cartel I.G. Farben pour crimes contre l’humanité. Les chefs d’accusation incluaient: organisation de guerre d’agression, institution de l’esclavage, massacres collectifs. Au cours de son réquisitoire, le procureur général Telford Taylor (USA) a résumé les faits commis par ces entreprises criminelles : « Sans I.G. Farben, la deuxième guerre mondiale n’aurait pas été possible ». Il est étonnant de constater que les plus faibles sentences du tribunal de Nuremberg ont été prononcées contre les vrais responsables des 60 millions de victimes de la deuxième guerre mondiale – les cadres supérieurs d’I.G. Farben. Même ceux qui étaient directement responsables des crimes commis à I.G. Auschwitz n’ont été condamnés qu’à un maximum de douze années d’emprisonnement. Surpris ? Vous ne devriez pas l’être.

En 1944, Nelson Rockefeller faisait déjà partie de la direction exécutive du gouvernement américain. Débutant comme sous- secrétaire d’État, il est devenu en quelques années conseiller spécial du Président Truman pour les Affaires spéciales. En d’autres termes, à chaque situation critique de l’histoire du vingtième siècle, les intérêts du conglomérat Rockefeller avaient déjà un rôle déterminant dans les décisions prises au plus haut niveau. Ils ont façonné le monde de l’après-guerre et organisé la distribution de ses richesses. Ainsi, si l’on tient compte de l’influence du Département d’État américain, les sentences prononcées à Nuremberg contre les directeurs d’I.G. Farben trouvent une explication évidente. Outre la prise de contrôle des opérations industrielles d’I.G. Farben, et donc de leurs activités sur les marchés mondiaux du pétrole et des médicaments, Nelson Rockefeller s’est assuré que les vrais coupables ne seraient pas pendus. En effet, comme nous le verrons, il allait avoir besoin d’eux.

 

1948 Création de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé).

 

1949 La République Fédérale d’Allemagne est fondée. Pour la première fois dans l’histoire du monde, la constitution d’une nation industrialisée pouvaient être planifiées et modélisées comme une forteresse spécifiquement adaptée aux intérêts du commerce pharmaceutique, une base transatlantique pour soutenir les projets commerciaux de Rockefeller. Après seulement quelques années, les directeurs d’I.G. Farben jugés à Nuremberg sortent de prison et retrouvent leurs positions précédentes pour gérer les intérêts de Rockefeller. Fritz Ter Meer, par exemple, condamné à douze ans de prison pour ses crimes à Auschwitz, est redevenu en 1963 Président du conseil de Bayer, la plus grande entreprise pharmaceutique multinationale d’Allemagne !

 

1945 – 1949 Le rôle des frères Rockefeller ne se limite pas au contrôle des monopoles mondiaux du pétrole et des médicaments. Ils doivent aussi créer une plate- forme politique pour supporter la croissance de leurs entreprises. Sous leur influence, les Nations Unies sont créées en 1945, à San Francisco. Pour prendre le contrôle politique du monde de l’après-guerre, trois pays – tous leaders de l’exportation de produits pharmaceutiques – prennent toutes les décisions, les 200 autres sont transformées en simples observateurs. Alors qu’elles ont été créées dans le but de servir le bien-être des peuples du monde, les diverses organisations de l’ONU, comme l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC), deviennent rapidement les agences politiques défendant les intérêts des industriels du pétrole et des produits pharmaceutiques.

 

1957 Création de l’AIEA (Agence Internationale de l’Énergie Atomique)

 

1959 Le 28 mai 1959 l’OMS (Organisation Mondial de la Santé) et l’AIEA (Agence Internationale de l’Énergie Atomique) signe un accord qui oblige l’OMS à demander l’autorisation de l’AIEA pour toutes études sur les maladies provoquées par les radiations nucléaires. L’OMS a donc censuré toutes les études sur les maladies liées à l’industrie nucléaire, civile ou militaire, depuis un demi-siècle et attribué faussement de nombreux problèmes de santé publique à des facteurs mineurs, comme le tabac ou l’alcool. Selon une étude indépendante, réalisée en 2003, le nucléaire serait responsable de 123 millions de cancers depuis 1945.

 

1961 Convention unique sur les stupéfiants ratifié par l’ONU le 30 mars 1961 interdisant la production, la consommation et la vente des plantes ayant des propriétés psychotropes, notamment le cannabis, plante connue par l’industrie pharmaceutique pour son énorme potentiel thérapeutique : cancer, ulcère, asthme, glaucome, épilepsie, anorexie, brulure, spasme, etc.

 

1963 Création du Codex Alimentarius permettant d’interdire certaines plantes médicinales et d’autoriser des produits chimiques dangereux. Le Codex dépend de l’OMS et de l’OMC.

 

1964 Vaccination obligatoire contre la poliomyélite par Charles de Gaulle.

Au nom des intérêts des Rockefeller, le gouvernement de la république pharmaceutique bananière d’Allemagne a été le pionnier d’une des initiatives les plus tristement célèbres des Nations Unies. Sous prétexte de protection des consommateurs, il a mené pendant quarante ans une croisade visant à faire disparaitre toutes les thérapies à base de vitamines et autres approches naturelles inbrevetables dans tous les pays membres des Nations Unies. L’objectif consistait simplement à éliminer toute forme de concurrence pour garantir la croissance multimilliardaire des fabricants de médicaments brevetés. Le plan était simple : reproduire à l’échelle mondiale ce qui avait été réalisé en Amérique pendant les années 1920 : un monopole complet des produits de santé contrôlé par les fabricants de produits pharmaceutiques brevetés.

Comme le marché pharmaceutique dépend de l’existence continue des maladies, ces produits de synthèse ne sont pas destinés à prévenir, guérir ou éliminer les maladies. L’objectif de cette stratégie globale est de transformer la santé de milliards de personnes en un monopole commercial grâce à des pilules qui couvrent les symptômes sans toucher aux causes réelles des maladies. Empêcher des milliards de personnes d’accéder à des informations vitales sur les avantages pour la santé des méthodes naturelles et simultanément développer un monopole basé sur des produits synthétiques largement inefficaces et fréquemment toxiques a provoqué des maladies et des décès dans les proportions d’un véritable génocide.

Cette épidémie de handicaps et de morts inutiles, propagée par le commerce pharmaceutique avec la maladie, ne peut être comparée à aucun autre évènement historique. Linus Pauling et d’autres scientifiques éminents ont le mérite d’avoir maintenu ouvertes les portes de la connaissance sur les avantages réels des vitamines et d’autres approches médicales naturelles et efficaces. Sans eux, nous vivrions déjà dans une prison de pseudo santé, surveillés par les gardiens du commerce pharmaceutique avec la maladie, vigilants dans la médecine, la politique et les médias.

 

1970 Loi française sur les stupéfiants  : opium, morphine, héroïne, méthadone, codéine, cocaïne, cannabis par Georges Pompidou.

 

1990 – 1992 Les déficiences en micronutriments sont la cause principale des maladies. Elles incluent les troubles cardiovasculaires, l’hypertension, les problèmes circulatoires liés au diabète, le cancer et même des déficiences immunitaires, le sida inclus.

 

2003 Création du délit de conduite sous l’influence de stupéfiants par Nicolas Sarkozy (ministre de l’Intérieur) et l’OMS.

 

2003 Hausse de 42 % du prix du tabac sur deux ans par Jacques Chirac et l’OMS.

 

2007 Lois anti-tabac dans 194 pays, grâce à l’OMS.

 

2008 Loi OGM dans toute l’Europe.

Publié sur :

http://www.noslibertes.org / http://www.noslibertes.org/doc/pharmacie/HistoriqueCartelPharmaceutique.pdf

 

 

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Sources : http://www4fr.dr-rath-foundation.org http://www.noslibertes.org

Article: http://www.noslibertes.org/doc/pharmacie/HistoriqueCartelPharmaceutique.pdf

 

  

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